La date du ferry approche, nous découvrons encore un peu plus cette ile sauvage, et encore une fois nous sommes ébahis face à ces paysages.
Abel tasman
Après cette pause chez Zara dans la Golden Bay, nous nous dirigeons vers le Nord du Parc National d’Abel Tasman, et nous ne sommes pas déçus.
Wharariki Beach
Nous sommes retournés sur cette belle plage, à marée basse donc. Nous avons vu quelques cavernes, dont une occupée par un phoque.
Golden Bay
Voila une semaine que nous sommes chez Zara, tout se passe pour le mieux, hormis la météo capricieuse. On vit au fil de celle-ci, mais aussi au rythme des marées. Zara profite des marées basses pour sortir les poneys, et Morgane prends plaisir à les monter.
Farewell Spit
Arrivés à Motueka, je regarde les prochains site de camping libre ( ce sont des endroits désignés par le département de conservation pour les vans aménagés et camping car ) et les activités au Parc National d’Abel Tasman . Un petit tour en canoé se profile, je regarde donc la météo pour voir si on se lève tôt ou si c’est grâce mâtinée. Surprise, la semaine s’annonce extrêmement pluvieuse!
Une grâce mâtinée plus tard, nous étudions les possibilités, et nous tombons très vite d’accord pour refaire du Helpx ( logement et nourriture en échange de 4h de travail ) en attendant les beaux jours.
En route pour Abel Tasman
Nous commençons la journée par un ciel magnifique, avant de prendre la route, direction Nelson.
Une journée hors du temps.
Six heures, le réveil sonne à Kaikoura.
Je m’entends encore marmonner : « c’est trop tôt, on ira plus tard. ».
Nous sommes tous les deux dans un certain brouillard. Il fait encore nuit, il fait froid, même l’océan en face de nous dort encore, pas un bruit. Non, on n’a pas vraiment envie de se réveiller et pourtant…
Un peu plus de magie..
Nous faisons quelques kilomètres et nous visitons des rochers étranges sur la plage. Ils ressemblent étrangement à des œufs, ou plus probable, à des géodes géantes. Ce sont les Moeraki Rocks.
Côte Est
Nous voila à Dunedin! Pour être précis, quelques kilomètres avant, à Tunnel Beach Track.
Le bout du monde
C’est un sentiment assez étrange d’être sur une île. Qu’importe la direction, on tombe toujours sur une côte.